Toutce qui ne s'exprime pas s'imprime. Mais tout ce qui ne s'exprime pas peut se lire. Tout ce qui ne s'exprime pas, parle. Si tout ce qui ne s'exprime pas ne peut pas Jacques SalomĂ© citation 1 Sachant que tout ce qui ne s' exprime pas s' imprime, il est souhaitable de favoriser l' expression au-delĂ  de l' Ă©motion, ou du retentissement. Cette Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime". Il y a quelques jours je te parlais de mon approche holistique. Elle m'a conduite, notamment, Ă  me former Ă  la mĂ©decine traditionnelle Toutce qui ne sexprime pas simprime, HĂ©lĂšne Tremblay Ouais ça ma pris du temps Ă  comprendre ce quelle voulait dire quand elle me disait ça. Mais cette maxime a fini par Toutce que vous gardez Ă  l'intĂ©rieur de vous va se dĂ©poser sur une zone faible de votre corps et se transformer en douleur (symptĂŽmes physiques). Ce que nous taisons, le cerveau le 17views, 0 likes, 0 loves, 0 comments, 0 shares, Facebook Watch Videos from Le Phare, Saint-Hyacinthe et rĂ©gions Inc.: Capsule de Diane Beauregard intitulĂ©e «Tout ce qui ne s'exprime VidĂ©o: Sylvie Marx - Tout ce que l'on exprime pas, notre corps l'imprime. Emission du 12/03/2019 TOUT CE QUE L'ON EXPRIME PAS, NOTRE CORPS L'IMPRIME. EMISSION DU 12/03/2019. dĂ©couvrez ma prestation en rapport avec cette vidĂ©o . THÉRAPIE ADIOS ADDICTIONS, TABACOLOGIE, ALCOOLOGIE, ÉCRANS, SUCRE SiWord ne peut pas imprimer du tout, ou si Word ne peut pas imprimer une police ou un certain type de graphique, essayez l’étape suivante. Étape 2 : Test d'impression dans d'autres programmes. L'ampleur du problĂšme d'impression peut rĂ©vĂ©ler sa cause. Par exemple, certains problĂšmes d'impression n'affectent que Word, tandis que d'autres TOUT CE QUI NE S’EXPRIME PAS S’IMPRIME" Comme nous sommes formĂ©s d’énergie, toute Ă©motion a une frĂ©quence particuliĂšre. Certaines peuvent nous conduire vers la santĂ©, d’autres Citationsfrançaises tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime auteur - Page 7 : Je ne me dis pas tout. Cherchez ici une citation ou un auteur Proverbes; Dictons; Auteurs; ThĂšmes; ThĂšmes f4etr. À l’écoute des messages du corps âšĄïž Prend sur toi Â»âšĄïž Serre les dents Â»âšĄïž Fais le dos rond Â»âšĄïž Encaisse Â»âšĄïž Il faut s’endurcir » Merveilleuses injonctions. J’ai aussi remarquĂ© que les gens qui nous donnent ces conseils, souffrent eux-mĂȘmes de devoir les mettre en application Alors pourquoi continuer dans une voie qui, de toute Ă©vidence, crĂ©e des souffrances ? âšĄïž S’il est normal de ressentir des Ă©motions et des sentiments, il l’est tout autant de les exprimer Si une Ă©motion tape Ă  la porte, ouvrez elle a quelque chose Ă  vous dire Écoutez le message, entendez la part de vous qui essaye de s’exprimer Si vous entendez le message, l’émotion s’évanouira car elle aura fait son travail vous alerter Si, par contre, vous refermez la porte, l’émotion tapera de plus en plus fort jusqu’à ce que vous rĂ©ceptionniez le message qu’elle a pour mission de vous transmettre âšĄïž Entendre le message, ce n’est pas seulement reconnaitre telle ou telle Ă©motion Identifier la frustration, la peine, l’irritation, l’ennui, l’aversion, c’est un premier pas Ensuite, il s’agit d’Être en cohĂ©rence avec ces Ă©motions, il s’agit de se positionner en consĂ©quence dans les mots, et dans les actes âšĄïž C’est la rĂ©pĂ©tition durĂ©e + frĂ©quence d’un mĂȘme comportement qui est problĂ©matique À force, on ne rĂ©flĂ©chit plus, on agit en pilote automatique, on prend l’habitude de ne pas observer et exprimer ce qui se passe en nous On s’éloigne de nos ressentis, on s’habitue Ă  des sensations qui auparavant nous dĂ©rangeaient notre seuil de tolĂ©rance change C’est Ă  ce moment lĂ  que le corps s’exprime, il nous rappelle Ă  l’ordre Ces Ă©motions qui ne sont plus entendues vont trouver un autre moyen d’attirer notre attention Maux de dos, de ventre, de gorge, tensions, lassitude, dĂ©prime
 Car, vous l’aurez peut-ĂȘtre remarquĂ©, l’émotion ne vient pas seule, elle s’accompagne toujours de manifestations physiques âšĄïž Ces tensions s’accumulent au fil du temps et crient de plus en plus fort pour se faire entendre Tout ce qui ne s’exprime pas, s’imprime dans le corps Seul, il est difficile de comprendre ce qui se cache derriĂšre nos douleurs, inconforts et difficultĂ©s que nous traversons En sĂ©ance, je vous aide Ă  dĂ©crypter le message, pour vous en libĂ©rer et ramener de la fluiditĂ© dans votre corps et dans votre vie La maladie, LE MAL A DIT
 La relation entre les Ă©motions et les maladies. Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! » Corps Ă  Coeur est un lieu oĂč les messages du corps sont Ă©coutĂ©s et pris en compte. Le corps n’est pas juste un "instrument" ou un "vĂ©hicule", je le considĂšre comme un temple le temple de l’ñme et aussi comme " le film de votre vie".Toutes les Ă©motions que vous refoulez Ă  l’intĂ©rieur de vous-mĂȘme parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans diffĂ©rentes parties de votre Ă©motions gĂ©nĂšrent des symptĂŽmes physiques, par exemple la peur, l'angoisse donnent des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements, mains aussi ‱ LA PANIQUE peut provoquer des diarrhĂ©es.‱ LA COLÈRE retenue ou LA RANCUNE une crise de foie.‱ LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE peut provoquer des infections urinaires Ă  rĂ©pĂ©tition.‱ QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.‱ QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSÉ DIRE, QU’ON A RAVALÉ , une angine, des maux de gorge.‱ UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problĂšmes de genoux.‱ PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.‱ INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.‱ CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.‱ TOUT PRENDRE SUR SOI, Ă©galement douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.‱ SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE
douleurs dentaires, aphtes, abcĂšs.‱ PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE LEVER LE PIED » douleurs dans les jambes, les pieds, les colonne vertĂ©brale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos Ă©motions sĂ»r, il ne faut pas gĂ©nĂ©raliser, l’origine d’une douleur peut ĂȘtre tout simplement mĂ©canique, un faux mouvement ou un coup de froid
.mais si vous ne trouvez pas d’explications contextuelles, alors essayez d’entrer "en contact" avec ce qui se joue au plus profond de ma part, j’utilise rĂ©guliĂšrement l’ouvrage de Jacques Martel Le grand dictionnaire des malaises et des maladies pour mettre des mots sur les maux
cet ouvrage est une sorte de guide pour comprendre " ce qui se joue" que je pourrais avoir tendance Ă  refouler, ou Ă  ne pas vouloir "regarder"
En voici quelques extraits Le FOIE reprĂ©sente les choix, la colĂšre, les changements et l’ peut souffrir du foie quand on ne parvient pas Ă  s’adapter Ă  des changements, professionnels ou familiaux.‱ DifficultĂ©s d’ajustement Ă  une situation.‱ Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.‱ ColĂšre refoulĂ©e.‱ Personnes sujettes aux maladies du foie les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup elles-mĂȘmes et les autres et/ou qui se plaignent VÉSICULE BILIAIRE est en rapport avec l’extĂ©rieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le battre. Esprit de conquĂȘte.‱ Se faire de la bile, s’inquiĂ©ter, s’angoisser.‱ Sentiment d’injustice. ColĂšre, rancune.‱ Se sentir envahi, empiĂ©tĂ© sur son territoire par une personne autoritaire.‱ AgressivitĂ© rentrĂ©e et ruminante, mĂ©contentement retenu.‱ Se retenir de passer Ă  l’action. DifficultĂ©s Ă  faire un choix, de peur de se GLANDE THYROÏDE‱ Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.‱ Sentiment d’ĂȘtre trop lent par rapport Ă  ce qu’on attend de nous.‱ Impuissance, sentiment d’ĂȘtre coincĂ© dans une situation, ĂȘtre devant un mur, dans une impasse.‱ Être bloquĂ© dans la parole ou dans l’action, ĂȘtre empĂȘchĂ© d’agir.‱ Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir Ă©coutĂ©. DifficultĂ©s Ă  s’affirmer.‱ Une dĂ©ception ou une injustice n’a pas Ă©tĂ© avalĂ©e » et est restĂ©e en travers de la HERNIESEn rĂšgle gĂ©nĂ©rale de la dĂ©tresse implose Ă  l’intĂ©rieur et demande Ă  ĂȘtre libĂ©rĂ©e.‱ DĂ©sir de rompre ou de quitter une situation oĂč on se sent coincĂ©, mais oĂč l’on reste par peur de manquer de quelque chose, gĂ©nĂ©ralement du matĂ©riel.‱ Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacitĂ© Ă  rĂ©aliser certaines choses qu’on voudrait.‱ Frustration de travailler dur, se sentir poussĂ© Ă  aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une maniĂšre excessive, qui en demande trop. Une poussĂ©e mentale de stress essaie de en plus, le lieu oĂč siĂšge l’hernie indique son message Ă©motionnel de maniĂšre plus prĂ©cise et complĂ©mentaire > Hernie inguinale dans l’aine difficultĂ© Ă  exprimer sa crĂ©ativitĂ©, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. DĂ©sir de rompre avec une personne qui nous est dĂ©sagrĂ©able, mais avec laquelle on se sent engagĂ© ou qu’on est obligĂ© de cĂŽtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.> Hernie ombilicale nostalgie du ventre de la mĂšre oĂč tout Ă©tait facile et oĂč se sentait totalement en sĂ©curitĂ©. Refus de la vie.> Hernie discale conflit intĂ©rieur, trop de responsabilitĂ©, sentiment de dĂ©valorisation, ne pas se sentir Ă  la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idĂ©es non reconnus. La colonne vertĂ©brale reprĂ©sente le d’ĂȘtre appuyĂ©, soutenu, mais difficultĂ© ou impossibilitĂ© de demander de l’aide.> Hernie hiatale se sentir bloquĂ© dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti. Refouler ses vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la GENOUXDouleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux mĂ©nisques refus de plier, de se mettre Ă  genoux » de se soumettre de cĂ©der, fiertĂ©, ego, caractĂšre inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.‱ DifficultĂ©s Ă  accepter les remarques ou les critiques des autres.‱ ProblĂšmes avec l’autoritĂ©, la hiĂ©rarchie, problĂšmes d’ego, d’orgueil.‱ Devoir s’incliner pour avoir la paix.‱ Ambition rĂ©frĂ©nĂ©e ou contrariĂ©e par une cause extĂ©rieure,‱ EntĂȘtement, humiliation.‱ CulpabilitĂ© d’avoir raison.‱ ColĂšre d’ĂȘtre trop PEAU >> eczĂ©ma, acnĂ©, psoriasisLes maladies de peau ont trĂšs souvent, Ă  l’origine, un conflit de sĂ©paration mal gĂ©rĂ©, une sĂ©paration mal vĂ©cue, soit par la mĂšre, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de aussi envers soi-mĂȘme dĂ©valorisation de soi vis-Ă -vis de l’entourage. Porter trop d’attention Ă  ce que les autres peuvent penser de nous.> EczĂ©ma ‱ anxiĂ©tĂ©, peur de l’avenir,‱ difficultĂ©s Ă  s’exprimer.‱ Impatience et Ă©nervement de ne pas pouvoir rĂ©soudre une contrariĂ©tĂ©.‱ SĂ©paration, deuil, contact rompu avec un ĂȘtre les enfants, l’eczĂ©ma peut rĂ©sulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficultĂ© de la mĂšre Ă  accepter que son enfant ne soit plus en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilitĂ© non exprimĂ©e, mais que l’enfant ressent et somatise ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. InsĂ©curitĂ©.> AcnĂ© maniĂšre indirecte de repousser les autres, par peur d’ĂȘtre dĂ©couvert, de montrer ce qu’on est rĂ©ellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas ĂȘtre aimĂ© tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crĂ©e une barriĂšre pour que les autres ne nous approchent pas.‱ Refus de sa propre image, de sa personnalitĂ© ou de sa nouvelle apparence.‱ Honte des transformations corporelles.‱ DifficultĂ© Ă  ĂȘtre soi-mĂȘme, refus de ressembler au parent du mĂȘme sexe.> Psoriasis personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait ĂȘtre quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problĂšme d’identitĂ©. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se dĂ©fendre.‱ Besoin de se sentir parfait pour ĂȘtre aimĂ©.‱ Souvent une double conflit de sĂ©paration, soit avec deux personnes diffĂ©rentes, soit un ancien conflit non rĂ©solu, rĂ©activĂ© par une nouvelle situation de sĂ©paration.‱ Se sentir rabaissĂ© ou rejetĂ©, Ă  fleur de peau.‱ Se protĂ©ger d’un rapprochement physique, ou protĂ©ger sa vulnĂ©rabilitĂ©, mettre une BRAS Il y a de nombreuses causes Ă©motionnelles liĂ©es aux douleurs et aux problĂšmes de bras sont le prolongement du cƓur et sont liĂ©s Ă  l’action de FAIRE et de RECEVOIR, ainsi que l’autoritĂ©, le douleurs aux bras peuvent ĂȘtre liĂ©es Ă  de la difficultĂ© Ă  aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacitĂ©s, ce qui amĂšne la personne Ă  se replier sur elle et Ă  s’apitoyer sur ses souffrances.‱ Se croire obligĂ© de s’occuper de quelqu’un.‱ Ne pas se sentir Ă  la hauteur lorsqu’on est le bras droit » de quelqu’un.‱ DifficultĂ© Ă  prendre les autres dans ses bras, Ă  leur montrer de l’affection.‱ Je m’empĂȘche de faire des choses pour moi-mĂȘme, parce que je me souviens des jugements nĂ©gatifs et des interdictions durant mon enfance, ce qui m’avait blessĂ©.‱ Je ne me permets pas de prendre ou je regrette d’avoir pris quelque chose, ou je pense que j’ai obtenu quelque chose que je ne mĂ©ritais pas.‱ Ou quelque chose me revient de droit , que je n’ai pas pris, je ressens de la colĂšre.‱ Se rapporte au fait d’avoir Ă©tĂ© jugĂ© par ses parents.‱ Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrĂŽle, mais avoir dĂ» le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protĂ©ger un enfant, par exemple
.‱ Vivre une situation d’échec, devoir baisser les ÉPAULES c’est ce qui PORTE. Les Ă©paules portent les joies, les peines, les responsabilitĂ©s, les fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas
On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop Ă  faire, on se sent Ă©crasĂ©, pas Ă©paulĂ©, pas soutenu.‱ Douleurs possibles aussi quand on nous empĂȘche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses.‱ Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on dĂ©sire passer Ă  autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.‱ On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidĂ©.‱ Une personne chĂšre ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problĂšmes pour l’en libĂ©rer.‱ ColĂšre retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne mĂȘme pas le droit de prendre un temps de pause.‱ Au travail ou Ă  la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominĂ© sans oser rĂ©agir.‱ On vit de l’insĂ©curitĂ© affective douleur Ă©paule gauche ou de l’insĂ©curitĂ© matĂ©rielle douleur Ă©paule droite.Épaules rigides et bloquĂ©es blocage de la circulation de l’énergie du coeur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne le bras droit et reçoit le bras gauche.Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu capsulite, bursite.L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de FAIRE, de rĂ©aliser ses porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes douleurs dans les trapĂšzes, surtout Ă  gauche. parfois envers paralyse ses Ă©paules pour s’empĂȘcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutĂŽt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mĂ©contenter l’ ou impossibilitĂ© Ă  lever le bras conflit profond avec sa famille, difficultĂ© Ă  voler de ses propres de modifier, clarifier ou de lĂącher-prise par rapport Ă  la situation qui vous perturbe. Le mal a dit » = votre douleur essaie de vous dire quelque chose, de vous signaler que quelque chose perturbe l’harmonie en vous, d’attirer votre attention sur quelque chose Ă  changer dans votre vie.Sources livres de Lise Bourbeau, Jacques Martel, Claudia Rainville et Philippe DransartReconnaissez et acceptez ces Ă©motions, si vous les Ă©prouvez, mettez des mots dessus, acceptez votre ressenti. Une fois les Ă©motions nĂ©gatives reconnues, acceptĂ©es et Ă©vacuĂ©es, le corps peut cesser de vous envoyer ce message de mal a dit. » © Pascal BESSONreproduction intĂ©grale interdite, tout extrait doit citer mon site clĂ©s tout,exprime,imprimeArticle retenu par ThĂ©ranĂ©o pour la SĂ©lection QualitĂ© Autres articles de cette rubrique voir tous Dans un article paru en octobre 2014 Ă  l’occasion de la sortie en salles aux Etats-Unis de Dear White People texte traduit et publiĂ© sur ce site au moment de la sortie du film en France, Stephen Kearse pose d’entrĂ©e que La plus grande puissance du racisme est sa capacitĂ© Ă  simplifier radicalement le monde », Ă  rendre celui-ci univoque ». La tĂąche fondamentale de tout travail antiraciste consiste alors selon lui Ă  contester et [Ă ] saper cette simplicitĂ© artificielle, en exposant la complexitĂ© implacable du monde ».L’étude du terme racisĂ©-e » et de ses usages permet justement de mettre Ă  jour Ă  la fois la maniĂšre dont les simplifications et rĂ©ductions du racisme imprĂšgnent l’antiracisme mĂȘme, mais aussi comment le vocabulaire antiraciste – et plus particuliĂšrement ce terme – peut ĂȘtre porteur de complexifications et de clarifications politiques salutaires. C’est toute l’ambigĂŒitĂ© des usages du mot racisĂ©-e » dont nous aimerions ici l’origine utilisĂ© par les universitaires et chercheurs en sciences sociales, le terme connait ces derniĂšres annĂ©es un succĂšs croissant dans les cercles militants antiracistes surtout parisiens. Il dĂ©signe les personnes noires, arabes, rroms, asiatiques, musulmanes, etc. renvoyĂ©es Ă  une appartenance rĂ©elle ou supposĂ©e Ă  un groupe ayant subi un processus Ă  la fois social et mental d’altĂ©risation sur la base de la race. Les racisĂ©-e-s » sont celles et ceux qui appartiennent rĂ©ellement ou non aux groupes ayant subi un processus de racisation ».CentralitĂ© de la raceEn renvoyant au processus social et mental de construction des groupes racisĂ©s », le terme a le mĂ©rite Ă©vident d’insister sur le caractĂšre socialement construit Ă  la fois des diffĂ©rences, mais aussi de leur essentialisation. L’accent est mis sur le fait que la race n’a pas le statut de catĂ©gorie objective, mais fait rĂ©fĂ©rence Ă  une idĂ©e construite, qui n’a pas de rĂ©alitĂ© dans l’ordre biologique ». Elle est un effet de l’activitĂ© de catĂ©gorisation et de reprĂ©sentation des personnes[1] ». VoilĂ  qui bat en brĂšche les discours visant Ă  nier par exemple l’existence d’un racisme antimusulmans islamophobie ou antijuifs antisĂ©mitisme sous prĂ©texte que ces groupes ne seraient pas des races ».Placer la race au centre du discours politise la question raciale et rompt avec l’antiracisme moral et le discours colorblind. Car le langage dominant aujourd’hui autour des questions raciales est typiquement celui d’un dĂ©ni de la race » rappelle Adia Harvey Wingfield dans un article au titre Ă©vocateur Si vous ne voyez pas la race, comment pourriez-vous voir l’inĂ©galitĂ© raciale ? ». S’appuyant sur les travaux de sociologues, elle affirme que les mĂ©canismes qui reproduisent les inĂ©galitĂ©s raciales sont devenus plus cachĂ©s et obscurs que ce qu’ils Ă©taient pendant l’ùre de la sĂ©grĂ©gation ouverte et lĂ©gale ». Le langage du racisme explicite a cĂ©dĂ© la place Ă  un discours du dĂ©ni de la race. »Le terme racisĂ©-e » permet de rompre avec ce refus de prendre publiquement au sĂ©rieux la race, refus qui n’obĂ©it ni Ă  un manque ou Ă  une cĂ©citĂ©, mais permet justement de reconduire les discriminations et hiĂ©rarchies raciales. Quand on aperçoit dans son immĂ©diatetĂ© le contexte colonial, Ă©crivait Fanon dans Les damnĂ©s de la terre, il est patent que ce qui morcelle le monde, c’est d’abord le fait d’appartenir ou non Ă  telle ou telle espĂšce, Ă  telle race[2]. » Le terme racisĂ©-e-s » exprime l’idĂ©e selon laquelle les conditions mĂȘmes d’existence des racisĂ©-e-s » continuent aujourd’hui d’ĂȘtre dĂ©terminĂ©es dans une trĂšs large mesure par la race et le blanc et racisme anti-blancs »En encourageant une comprĂ©hension structurelle du racisme comme systĂšme qui institutionnalise une distribution inĂ©gale des ressources et du pouvoir entre personnes blanches et personnes » Robin DiAngelo, le terme » met l’accent sur l’existence d’une barriĂšre raciale en montrant bien qui se trouve du bon cĂŽtĂ© de celle-ci celles et ceux qui ne sont justement pas comme », Ă  savoir les et celles et ceux qui le condition toutefois de ne pas reconduire les essentialisations que l’on prĂ©tend combattre. Car les structures sont faites de personnes » et nous sommes tou-te-s impliquĂ©-e-s[3] ». Une focalisation trop grande sur un racisme structurel mal compris peut nous conduire au final a rĂ©assigner et renforcer les positions, catĂ©gories et hiĂ©rarchies du racisme mĂȘme, idĂ©e qu’exprimait clairement Edward Said dans L’Orientalisme Quand on utilise des catĂ©gories telles qu’“Oriental” et “Occidental” Ă  la fois comme point de dĂ©part et comme point d’arrivĂ©e pour des analyses, des recherches, pour la politique, cela a d’ordinaire pour consĂ©quence de polariser la distinction l’Oriental devient plus oriental, l’Occidental plus occidental[4] [
] ».C’est pourquoi les Blancs dont nous parlons ici se trouvent ĂȘtre ceux qui bĂ©nĂ©ficient du privilĂšge blanc[5]. Un privilĂšge qui ne peut ĂȘtre apprĂ©hendĂ© que de maniĂšre relationnelle, c’est-Ă -dire en comparaison avec les discriminations racistes que subissent les » discriminations pour les uns signifie immanquablement avantages pour les problĂšme Ă©vident de cette acception qui dĂ©finit de maniĂšre nĂ©gative les » vis-Ă -vis de la norme – la blanchitĂ© – est justement de garder sans le nommer les Blancs comme rĂ©fĂ©rence. C’est pourtant, comme on vient de le voir, la maniĂšre la plus directe et immĂ©diatement comprĂ©hensible de montrer que la structure des privilĂšges est dĂ©terminĂ©e par la suprĂ©matie blanche. Et c’est aussi d’une certaine maniĂšre prendre Ă  la lettre la prĂ©tention des Blancs Ă  ĂȘtre la mis sur la dimension structurelle – et bien comprise – du racisme qu’induit le terme » permet en outre de neutraliser de maniĂšre efficace le discours sur l’existence d’un racisme anti-blancs », discours conditionnĂ© par une comprĂ©hension du racisme en termes exclusivement moraux et individuels le racisme est l’Ɠuvre de mauvaises personnes qui manifestent volontairement une hostilitĂ© envers d’autres personnes. Malcolm X relevait dĂ©jĂ  que poser la question raciale en ces termes n’était tout simplement pas la bonne maniĂšre d’apprĂ©hender l’existence du racisme structurel. C’en Ă©tait mĂȘme la mot rĂ©servĂ© Ă  une Ă©lite militante et universitaire?Si comme on vient de le voir les avantages Ă  utiliser le terme de » sont nombreux, ses usages ne sont pas dĂ©pourvus d’ambigĂŒitĂ©s et prĂ©sentent quelques dĂ©fauts majeurs. Le premier tient Ă©videmment Ă  l’origine mĂȘme d’un terme qui ne provient ni du langage quotidien des », etc., ni mĂȘme de la pratique militante, mais bien du lexique pĂȘchĂ© originel Ă©litiste » semble devoir marquer les usages mĂȘmes du mot. A titre personnel nous l’avons utilisĂ© Ă  plusieurs reprises sur ce site et avons du l’expliciter presque autant de fois aux » qui nous disaient ne pas en comprendre la signification. Expliquer Ă  celles et ceux qui sont par un terme ce que le terme signifie n’est pas banal. Cela tient sans doute davantage au caractĂšre rĂ©cent du mot qu’à sa difficultĂ© intrinsĂšque avec un minimum de bagage sur le racisme, sans ĂȘtre forcĂ©ment un expert, on peut comprendre ce qu’il signifie ou du moins Ă  quoi il renvoie d’ pourrait d’ailleurs en dire autant des mots race » ou blancs » par exemple, que beaucoup y compris dans nos communautĂ©s rĂ©pugnent encore Ă  utiliser
 surtout face Ă  des Blancs. L’utilisation du mot » n’a d’ailleurs de sens que dans une discussion sur le racisme qui mĂȘle les Blancs. C’est lĂ  tout son intĂ©rĂȘt, en mĂȘme temps que sa limite le mot ne dĂ©signant que le rĂ©sultat d’un processus que nous connaissons depuis l’enfance, l’employer entre nous est assez des chaussures trop petites Etre noir en AmĂ©rique, c’est comme ĂȘtre obligĂ© de porter des chaussures trop petites. Certains s’adaptent. C’est toujours trĂšs inconfortable, mais il faut les porter parce que c’est les seules que nous avons. Ça ne veut pas dire qu’on aime ça. Certains en souffrent plus que d’autres. Certains arrivent Ă  ne pas y penser, d’autres non. Quand je vois un Noir docile, un autre militant, je me dis qu’ils ont une chose en commun des chaussures trop petites[6]. »Ces lignes extraites du passionnant livre d’entretiens de Studs terkel, Race, Histoires orales d’une obsession amĂ©ricaine, disent bien la rĂ©alitĂ© du vĂ©cu racial nous » portons des chaussures trop petites. Autrement dit, nous devons composer toute notre existence avec le racisme. Pour autant, nous ne sommes pas Ă  la mĂȘme enseigne. Loin s’en le terme racisĂ©-e-s » recouvre des situations multiples, souvent Ă©loignĂ©es les unes des autres, en raison des spĂ©cificitĂ©s de l’histoire migratoire en France. Celle-ci, rappelle SaĂŻd Bouamama, est Ă  la fois un hĂ©ritage imprĂ©vu de la colonisation et une production de la mondialisation capitaliste, dont un des ressorts importants est la bipolarisation inĂ©gale Nord-Sud ». Bouamama poursuit Cette double source d’hĂ©ritage et de production du prĂ©sent conduit Ă  une structuration en couche des Noirs et des Arabes de France sans-papiers, immigrĂ©s avec une carte d’un an renouvelable, immigrĂ©s avec une carte de dix ans, Français issus de la colonisation[7]. »C’est bien cette hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© que masque certains usages du terme » puisque le mot peut dĂ©signer tout Ă  la fois des rĂ©cemment en France, que des ou ici depuis des gĂ©nĂ©rations. Aussi bien un sans-papier » comorien qu’un Ă©tudiant marocain issu d’un milieu bourgeois venu faire ses Ă©tudes en les » portent bel et bien des chaussures trop petites, doivent composer avec des chaussures lĂ©gĂšrement inconfortables et d’autres avec des souliers bien plus douloureux. Un ami rĂ©sumait cela par une formule saisissante se plaignent du plafond de verre, d’autres de la rugositĂ© du sol. »Exposer la complexitĂ© implacable du monde
 tout en gardant le capAujourd’hui, la race remplit vis-Ă -vis des Arabes, Rroms, Asiatiques et qui vivent en France sa fonction d’instrument de domination et de catĂ©gorisation avec une complexitĂ© croissante. Si la conscience du racisme semble ĂȘtre bien plus aigĂŒe de nos jours, ses manifestations se font parfois plus subtiles, ce qui nĂ©cessite en retour une attention redoublĂ©e. C’est cette attention – nĂ©cessairement intersectionnelle – qui doit guider nos usages du terme ».UtilisĂ© avec discernement, sans fĂ©tichisme, le terme apparait comme un outil de plus Ă  notre disposition, dont l’utilitĂ© est non seulement rhĂ©torique mais aussi politique. La catĂ©gorie de », qui renvoie Ă  des expĂ©riences communes Ă  travers le processus commun de racisation », a le mĂ©rite 1 de sortir de l’essentialisation, 2 de rompre avec un universalisme abstrait et pesant en reflĂ©tant au mieux nos subjectivitĂ©s, et 3 de ne pas emprunter au lexique de l’extrĂȘme-droite Français de souche », etc. pour parler de en gardant Ă  l’esprit qu’il existe des diffĂ©rences Ă  la fois entre les groupes qui subissent le racisme, mais aussi en leur sein, la catĂ©gorie de » exprime l’idĂ©e selon laquelle, nous le rĂ©pĂ©tons, les groupes racisĂ©s » sont tous soumis au mĂȘme processus de racisation ». Un processus qui d’une certaine maniĂšre touche les personnes indĂ©pendamment de leur Ăąge, sexe, classe, etc., mĂȘme si dans les faits le racisme se manifeste diffĂ©remment selon ces qui en termes d’organisation politique revĂȘt pour nous un grand intĂ©rĂȘt en permettant d’identifier clairement des objectifs politiques communs, sans que cela n’entre en contradiction – bien au contraire – avec une approche intersectionnelle, plurielle, plus que jamais nĂ©cessaire. Mais Ă  trop vouloir dĂ©finir par le menu toute cette pluralitĂ©, nous courons le risque d’une fragmentation Ă  l’infini des luttes, piĂšge que tout mouvement social Ă  l’ùre nĂ©o libĂ©rale doit invitation Ă  lutter ensemble, en conscience de la pluralitĂ©, voilĂ  comment nous comprenons ce terme de ».NOTES[1] Jean-Luc Primon, Ethnicisation, racisation, racialisation une introduction », Faire Savoirs N°6 – mai 2007.[2] Frantz Fanon, Les damnĂ©s de la terre, La DĂ©couverte, 2002, p. 43.[3] Reni Eddo-Lodge, Que rĂ©vĂšle la phrase Pas tous les Blancs » ?, Etat d’ Edward Said, L’Orientalisme, L’Orient créé par l’Occident, Seuil, 2003, p. 61.[5] Certains dĂ©veloppements sur le privilĂšge blanc sont empruntĂ©s Ă  notre article Nous parlons trop calmement de choses violentes », in Rafik Chekkat et Emmanuel Delgado-Hoch coord., Race rebelle, Luttes dans les quartiers populaires des annĂ©es 1980 Ă  nos jours, Editions Syllepse, 2011.[6] Studs Terkel, Race, Histoires orales d’une obsession amĂ©ricaine, Editions Amsterdam, 2010, p. 28.[7] SaĂŻd Bouamama, L’expĂ©rience politique des Noirs et des Arabes en France. Mutations, invariances et rĂ©currences », in Race rebelle, op. cit., p. 29-45.* Merci Ă  Amine et Joao pour leurs remarques et leurs prĂ©cieux ajouts.

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